Ecole du Sacré-Cœur de Lindthout

Car depui ma 3 maternelle j'ai appris beaucoup de choses grâce à des super profs ex:madame Dominique ,madame marie ,madame anaelle,madame Talbot,madame huyens JE dois un grand merci à ses profs et aux autres qui nous on aider

J'aurais voulu mettre 0 mais bon,cette école est vraiment la pire moi personnellement je ne l'aime mais vraiment vraiment pas

Excellentes écoles maternelle et primaire. Tout est fait pour que les enfants s’épanouissent et il y a une très grande implication de la part du personnel enseignant.

Suite à une lettre recommandée reçue le 26/03/2021, signé par Mr. Nandrin, actuellement directeur de l’établissement du Sacré Coeur de Lindthout, je me vois dans l’obligation de réécrire la review initial que j’ai posté ici afin d’éviter les éventuelles répercussions judiciaires car selon le chef d’établissement, mon review serait une forme de diffamation. Dans la lettre, Mr. Nandrin m’a demandé de retirer l’intégralité de la review. Chose qui est dès à présent faite. Je reprends dans les paragraphes suivants les différentes critiques que j’ai face à cet établissement de façon plus structurée, et ainsi, plus longue. J’espère que ce review pourra servir à des étudiants qui se retrouvent dans des situations d'inconfort/de harcèlement similaire aux ressentis que j’avais de l’établissement, que j’ai quitté il y a 10 ans, en 2011. L’équipe éducative et son rapport aux étudiants Je crois qu’il est important de noter que certains enseignants ont impacté ma vie de façon positive. Sans eux, je n’aurais jamais eu l’envie d’écrire, de raconter et d’investiguer. Pourtant, l’ambiance générale au sein du corps professoral semble fort déroutante. En effet, à maintes reprises, on se retrouvait confronté à des enseignants qui cassaient du sucre sur le dos les uns des autres, initiant les étudiants à en faire de même. Je crois que ce comportement menait en partie à l’impunité face aux étudiants qui s’harcelaient les uns les autres, au point ou très tôt dans mon parcours au Sacré Coeur, mon instinct me dictait qu’il valait mieux mettre fin à ses jours afin d’éviter d’être confronté à l’harcèlement physique et mental. La question des drogues Lors de mes années en secondaire, il y avait différents coins connus au sein de l’établissement ou du cannabis était fumé, les toilettes de la bibliothèque étant sans doute le grand classique ainsi que certaines zones de buissons dans le parc. De plus, il y avait des dealers de drogues douces aux alentours de l’école. L’école a été avertie par des parents mais l’établissement n’a rien fait pour contrer ce trafic. Le règlement des examens de passage Ce qui m’étonnait à l’époque était que j’étais dans l’incapacité d’avoir accès à mes notes d’examens de passage. Lorsque je demandais à mes enseignants pourquoi je ne pouvais pas savoir si j’avais réussi ou raté un examen, on me confiait qu’on laissait passer certains étudiants qui étaient en insuffisant alors qu’on en faisait redoubler d’autres. En ne donnant pas les points, l’école évitait d’avoir des procès. Je me rappelle que certains étudiants avaient la manie de se présenter comme étant ‘fils/fille d’un père avocat’. Je ne sais pas si cette pratique est d’actualité aujourd’hui mais elle m'inquiétait, et m’inquiète toujours, fortement. L’intégrité physique des étudiantes Un point important à souligner est l’intégrité physique des étudiantes. En effet, le préfet de l’époque avait la manie de mesurer les logos sur les vestes afin d’être sûr que ce soit dans le règlement vestimentaire de l’école. Ces mesures, à la latte ou à l'équerre, suscitèrent souvent des moments étranges. Étant moi-même aujourd’hui enseignante en secondaire, l’idée de mesurer des logos auprès des bustes des jeunes filles ne me viendrait même pas à l’esprit. Le préfet étant dans une position de pouvoir, je n’ai pas eu le courage de riposter. De plus, cette même personne m’a touché plusieurs fois les hanches dénudées lorsque j’essayais de trouver des classeurs dans mon casier, qui était en hauteur, au lieu de simplement me faire une remarque verbale sur le non respect du règlement vestimentaire. A nouveau, en aucun cas je ne toucherai la peau dénudée d’une de mes étudiantes. Je ne comprends pas pourquoi ces types de pratiques ne semblaient jamais être remis en question. Pour conclure, cet établissement était mal géré à l’époque et les échos actuels ne semblent pas fort convaincants non plus. Je vous garde au courant si jamais l’école va prendre d’autres mesures juridiques contre moi. Il est intrigant de voir comment la liberté d’expression semble encombrer l’établissement.

Très chouette école bruxelloise. Élèves disciplinés, courtois et bien éduqués. Equipe d enseignants très sympathiques et bienveillants. Encore une des rares écoles où il fait bon vivre à Bruxelles...

Certains professeurs sont grossiers et malveillants… Lorsqu’un enfant est harcelé ,il n’y a pas de soutien et le directeur ne répond pas aux mails…. Trop grande structure ,l’élève est un « numéro » Ecole qui ressemble plus à une industrie. Pas de communication… A fuir si vous recherchez l’épanouissement de votre enfant!

J’ai fais 3 années dans cette école (en secondaire), malheureusement j’ai quitté l’établissement car le niveau était trop élever pour moi mais sinon je recommande, c’est une très bonne école !

Après avoir passé plus de 16 ans dans cette école, je me décide enfin de poster un avis. Contrairement aux avis antérieurs, l'école a fait énormément d'efforts sur la communication, l'aide envers les élèves etc. Bien sur, il reste quelques petites choses à améliorer comme le niveau de certains professeurs en informatique. J'espere qu'ils débrouilleront sans moi ... . Bref, je vous remercie pour ces 16 années passées à vos cotés et je vous dis adieu meme si certains professeurs ont souhaités que je reste un peu plus longtemps.