Collective Health - La Perche - Chau. de Forest 183

Une super maison médicale inscrite dans son quartier

Medicos maravilhos e otimo atendimento

L'autisme n'est pas pris au sérieux dans cette maison médicale. Envoient les autistes chez un psy de la maison qui n'est aucunement spécialisé dans ce handicap. Aucun travail d'équipe entre l'assistante sociale et le médecin généraliste. L'assistante promet de parler au médecin, puis ne le fait pas. En conséquence, lors du rendez-vous avec le médecin, il n'est pas informé des soucis, ce qui est embarrassant pour le patient. Et le médecin ne lui fait pas confiance. J'avais eu de bonnes expériences dans cette maison médicale il y a une petite décennie, notamment avec une ancienne assistante sociale, mais il semble que motivation et bonne volonté se sont estompées avec le temps. Peut-être en fonction de la tête du client. L'actuelle assistante sociale tient constamment un discours de type NVA, voire islamophobe. Elle se permet de juger les gens, selon ses préjugés. Comme souvent, on reçoit une écoute lors du premiers rendez-vous : l'assistante sociale passe deux ou trois coups de téléphone et envoie quelques courriels. Puis, il n'y a pas de réel suivi, l'assistante saisissant le premier prétexte pour ne pas s'impliquer davantage, alors que le fond du problème n'est pas du tout résolu. Elle ne répond pas aux courriels, même en situation urgente. Puis brusquement prend seule des initiatives importantes sans auparavant consulter le patient, sans donner la totalité des informations au premier concerné. On peut dire que l'assistante sociale est imprévisible, ce qui ne serait pas grave si elle était efficace et respectueuse. De surcroît, elle ne supporte pas la critique et menace alors de ne plus rien faire, ce qui en fin de compte ne serait pas pire. L'assistante sociale est par ailleurs subventionnée par, notamment, la Région bruxelloise pour organiser des expositions de croûtes d'amateurs à prétention artistique dans la salle d'attente. Celles du mois de septembre 2018 sont particulièrement cauchemardesques. Voilà comment est gaspillé l'argent du contribuable. C'est « l'art à portée de tous », pendant que les plasticiens diplômés sont rejetés au CPAS où ils subissent l'humiliation pour péché d'« arrogance ». Ces mesquines vengeances des médiocres rappellent les séances d'autocritiques maoïstes. On n'envoie plus les intellectuels aux champs, mais à la blanchisserie du CPAS ou ramasser les crottes de chien dans la rue sous « article 60 ». Reste un personnel d'accueil sympathique et souriant. J'ai aussi le souvenir d'un gentil kiné. Malheureusement, cela ne suffit pas pour une maison médicale, sauf pour le candidat aux élections le PS Jean Spinette, du parti politique qui a précipité les déshérités et les pauvres dans la misère et la rue, sans la moindre humanité.